Minuscule 2
Tout cela est mené tambour battant, proche de l'esprit d'un Tex Avery, à cette différence qu'il ne s'agit pas d'un dessin animé, mais d'images de synthèse (pour les insectes), collées sur des décors réels. Un boulot de dingue, dont le résultat n'a rien à envier à une production Pixar et prouve, si tant est qu'il fallait encore le démontrer, que l'animation française est dans une forme olympique.